S’incruster parmi les coureurs de buffles de Bali pendant toute la saison de course de l’été c’est découvrir le makepung. Dans ce sport unique, les gagnants ne gagnent ni gloire ni fortune. Mais il y a des coupes à gagner et des droits de vantardise à avoir, ils le font pour avoir une place dans la communauté.
Avoir une place dans la communauté
Le Makepung est une tradition bien ancrée à Bali. Les courses n’ont commencé que dans les années 1930, mais la culture et la religion qui les entourent remontent à plusieurs siècles. Randelovic – le cinéaste – a décrit l’entraînement, le style de vie et les courses elles-mêmes pour créer un court-métrage inspirant qui capture le véritable esprit de l’une des traditions les plus uniques de l’Indonésie.
Le cinéaste de raconter comment un nième reportage sur Bali pourrit être original : « Donc, en gros, ce sont deux buffles reliés à un char. Et un mec se tient à l’arrière du char. Il a un gros bâton, et ils se battent. Le buffle est paré de décorations folles, de cloches et de bibelots. Ça m’a fait penser à un truc dans Gladiator. L’idée de capturer des buffles au ralenti, je me suis dit que ça pourrait être très bien. Puis, quand j’ai découvert l’histoire du makepung, la course de buffles, et le type que nous avons rencontré – il était tellement passionné par ce sport, la culture, et la façon dont il est entrelacé avec la religion balinaise. Le fait qu’il veuille tant le transmettre à son fils m’a semblé être un excellent sujet de documentaire à traiter. »
Et si les coutumes et cultures vous guidaient dans vos prochains déplacements ?